Le sabir est de même nature que le pidgin (une langue d'appoint créée pour les besoins de communication) mais théoriquement encore plus pauvre que ce dernier.
Environ 5 % des Camerounais sont des locuteurs natifs du pidgin camerounais, alors que 50 % de la population peut suivre une conversation dans la langue.
La grammaire du tok pisin présente des points communs avec les autres grammaires de type pidgin et créole mais présente aussi des particularités remarquables.